Petit à petit j’ai enfin tout pour être heureuse, un mari formidable, des voyages, un boulot de rêve et des projets… mais je culpabilise de ne pas être aussi heureuse que ce que je pense que je devrais, je continue à faire des crises d’angoisses souvent inexpliquées, je traine finalement le poid de mes malheurs antérieurs, ceux qui n’ont pas eu le temps de s’exprimer car il fallait avancer coute que coute… comme si mon cœur ne voulait pas croire qu’il peut s’apaiser